Sauce crudaïola pour des bucatini
Tout ce que j'aime, voilà l'appréciation de Monsieur, alors quand on sait que ma philosophie de cuisine c'est le partage ça ne peut que me faire plaisir.
Et il a bien raison, ce plat tout simple met en valeur tous les composants. C'est une recette sicilienne, une sauce crue servie froide sur les pates chaudes, juste une bonne huile d'olive, une tomate bien mûre une gousse d'ail frais et quelques feuilles de basilic encore une démonstration de "je me régale avec peu de choses".
Idéalement, il faut préparer cette sauce quelques heures avant de la servir pour laisser le temps aux ingrédients de bien se marier et développer tous leurs atouts pour une union parfaite.
Les bucatini sont ces pâtes italiennes longues comme des spaghetti et creuses un peu comme de longs macaroni. Je les achète sous la marque Barilla.
J'aime aussi les servir avec une sauce arabiatta, l'un de mes plats de pâtes préférés du même acabit que celui ci, simplicité et saveur légèrement pimentée pour la sauce arabiatta.
Pour 2 personnes
180 g de bucatini
1 cuillère de gros sel
pour la sauce
1 belle tomate bien mûre
1 gousse d'ail
2 branches de basilic
3 cuillères à soupe d'huile d'olive
sel et poivre
Préparer la sauce.
Couper la tomate en petits cubes, l'ail finement et les feuilles de basilic aux ciseaux.
Mettre tous ces ingrédients dans un bol, verser l'huile d'olive, saler et poivrer et laisser au frais quelques heures.
Au moment de servir, cuire les bucatini dans un grand volume d'eau avec le gros sel pendant 8 minutes pour moi (voir selon la marque).
Les égoutter puis les verser dans un plat de servir et verser la sauce crudaïola dessus, mélanger et servir de suite.
Petites notes
J'ai présenté ces pâtes dans un plat de service, mais finalement ça n'est pas facile de se servir car les cubes de tomates ont tendance à aller rejoindre le fond du plat lorsqu'on se sert et il est plus judicieux de faire directement des assiettes individuelles.
J'ai mis sur la table également un morceau de pecorino et la râpe à fromage puis qu'on puisse se servir selon son envie.
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